/ 1558
252. (1889) Histoire de la littérature française. Tome III (16e éd.) « Chapitre huitième »

Echapper à ces deux écueils dans la peinture de l’amour est le plus bel effort du poète dramatique. […] Quoi qu’il en soit, la plus difficile beauté, dans un poème dramatique, c’est une peinture de l’amour qui ne vieillisse pas. […] Racine n’a pas moins de variété dans la peinture de l’amour innocent. […] S’il est un soin à prendre dans la peinture des grands hommes, c’est de ne montrer que les côtés par où ils sont grands. […] Etait-ce plutôt l’effet de ses réflexions sur la fragilité inévitable des peintures de l’amour ?

/ 1558