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187. (1824) Notes sur les fables de La Fontaine « Livre septième. »

Quelle finesse dans cette peinture du cœur ! […] Que de grâces et de naturel dans la peinture qu’il fait de cette faiblesse, si naturelle aux hommes, d’ouvrir leur âme à la moindre lueur d’espérance ! […] C’est une peinture de mœurs qui est encore fidèle de nos jours ; et ce dernier trait : Pour se faire annoncer ce que l’on desirait, développe les derniers replis du cœur humain.

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