Voyez-vous, Pauline, vous êtes comme Mariette qui me fait souffrir avec la peinture de Feugères. […] Il ne faut pas peindre ce que tu vois, car alors à quoi bon la peinture ? […] Ô peinture des imbéciles, que je te hais ! […] Art trop matérialisé que la peinture ! […] Une peinture vigoureuse.