Cromwell disait à son peintre, en lui montrant les verrues et les poireaux qu’il avait sur le nez et le visage : « J’espère bien que vous ne m’allez pas ôter tout cela. » Je suis, en littérature et en histoire, de l’école de ceux qui veulent des portraits vrais, quand même les visages y auraient quelques verrues.