C’est là l’innocente liesse d’un faune adolescent, un peu saoul de soi, si j’ose dire, et d’un soi qui n’est point vulgaire ; car M. de Bouhélier concilie sans peine l’admiration et l’injure envers le même écrivain, et on ne sait trop ce qui domine en lui à l’égard de Shakespeare, de Hugo ou de M.