L’auteur y est entré tout d’abord et sans peine en traitant de Joseph de Maistre, avec qui l’on n’a pas tant de ménagements à garder puisqu’il n’en a eu pour personne. […] comme il s’en est bien corrigé, et que ceux qui lisent aujourd’hui son livre Du vrai, du bien et du beau, auraient peine à comprendre qu’il ait pu hésiter à se montrer à tous si naturellement éloquent !