Sous ce fourmillement de la vie, au plus profond de la ravine, est un gouffre obscur et silencieux, que le poète décrit à son tour : A peine une échappée, étincelante et bleue, Laisse-t-elle entrevoir, en un pan du ciel pur.
Sous ce fourmillement de la vie, au plus profond de la ravine, est un gouffre obscur et silencieux, que le poète décrit à son tour : A peine une échappée, étincelante et bleue, Laisse-t-elle entrevoir, en un pan du ciel pur.