Imaginez un travers plus sérieux, un vice, une peine proportionnée à la faute, voilà un caractère, voilà la vie. […] Chacun porte la peine ou reçoit le prix de son caractère. Mais la peine n’est pas tragique, ni la récompense romanesque ; tout est imité de la vie, où le bonheur qu’on tire de bien penser et de bien faire est médiocre, et où le châtiment attaché aux travers n’est jamais assez dur pour nous en corriger.