qu’il est heureux celui qui, dans la peine comme dans le bonheur, peut compter sur une tendresse éprouvée, dont le cœur repose avec confiance sur le cœur d’un autre dans toutes les fortunes, et qui, au déclin même de son âge, comme à la fleur de sa vie, jouit des douceurs d’une consolante union ! […] Quelle richesse peut désirer un homme qui, dans la charmante compagne de sa vie, possède un être qui partage ainsi ses peines, et qui, par d’ineffables affections, compense toutes ses douleurs ! […] Que, semblables à l’amour d’une mère pour ses enfants, ils allègent nos peines !