Elle a peint en traits expressifs ce premier travail tout intérieur de son imagination. […] Nous en étions, nous, à peindre l’homme souffrant, le blessé de la vie. Vous peignez, vous, l’homme ardent qui regimbe contre la souffrance et qui, au lieu de rejeter la coupe, la remplit à pleins bords et l’avale. […] Peignez en réaliste ou en poète les choses inertes, cela m’est égal ; mais quand on aborde les mouvements du cœur humain, c’est autre chose. […] « On a prétendu que, dans ce roman, j’avais peint le caractère de Chopin avec une grande exactitude sous le nom du prince Karoll.