Les pays vivent et meurent de la politique. […] J’entends, par la fin d’un pays, son passage sans réaction sous une domination étrangère, et le renoncement à son langage. […] Il peut plonger le pays dans un abîme de maux, sans avoir aucun règlement de comptes ultérieurs à redouter. […] L’un et l’autre ont fait beaucoup de mal à leur pays. […] Je ne parle que de la foule française, ignorant celle des autres pays.