Est-ce donc lui, ce pauvre être vaniteux et vantard, qui a fait le ciel et les soleils ? […] dit Théodore, qu’ont-ils de mieux à faire, ces pauvres Italiens qu’on a coutume d’assister en paroles ? […] Quel regret pour nous, pauvres rêveurs ! […] Pauvres enfants ! […] Le pauvre de Latouche avait aimé Balzac et l’aima encore en le haïssant.