Ce fut longtemps après saint Paul que l’on put dire : le prêtre vit de l’autel… … Êtes-vous bien certain que nous n’employons pas le produit de nos tentes, d’une part à protéger notre foi qui n’est pas salariée, comme le sont plusieurs et spécialement la vôtre, de l’autre à guérir, à soutenir, à relever nos pauvres, à qui nous n’infligeons pas la discipline et à qui nous ne conseillons pas de se l’infliger à eux-mêmes ? […] Pauvres diables de dieux que les dieux d’aujourd’hui !