Mon cher Benvenuto, ajouta-t-elle, avez-vous ouï dire que, lorsque le pauvre donne au riche, le diable rit ? […] Il se désolait de voir, du haut des fortifications, sa pauvre maison saccagée, et sa femme et ses enfants au pouvoir des ennemis : de sorte qu’il n’osait faire son devoir, de peur de tirer sur eux. […] Quelques amis qui étaient dans ma boutique dirent : Voyez ce pauvre animal, il a peur, et à peine ose-t-il montrer sa tête ! […] pauvre Benvenuto, que leur avez-vous fait ? […] Ce pauvre homme, à ces paroles, s’écria : Hélas !