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404. (1912) Chateaubriand pp. 1-344

était-il si pauvre ? […] Pauvre et inconnu, il avait été d’une fierté ombrageuse, et cramponné à sa solitude. […] si un pauvre esclave… — Eh bien, dit-elle en se penchant sur moi, un pauvre esclave… » Je repris avec ardeur : « Qu’un baiser l’assure de ta foi !  […] Ce troisième livre fait même paraître René assez pauvre. […] Il fut presque pauvre et mourut caché.

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