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28. (1866) Cours familier de littérature. XXII « CXXVIIe entretien. Fior d’Aliza (suite) » pp. 5-64

non, il ne sera pas dit que nous aurons laissé coucher dehors, un jour de fête pour la maison, un pauvre musicien qui a réjoui toute la journée ces murailles ! […] Si c’était le pauvre innocent Hyeronimo, que les juges auraient déjà jeté dans la prison de Lucques avant de savoir s’il était coupable ou s’il était seulement courageux pour son père, pour sa tante et pour moi ! […] » Les chevreaux en bondissaient de plaisir dans les bruyères ; ils s’arrêtaient de brouter, les pieds de devant contre les rochers et la tête tournée vers nous pour écouter (les pauvres bêtes !). […] repris-je, quand l’air fut joué, qu’entendîtes-vous, pauvre abandonnée, au pied de la tour ? […] dit avec fureur le pauvre père, ma vie !

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