La sympathie pour tout le monde, inventée par Voltaire, la sympathie pour les pauvres, inventée par Rousseau, n’y paraissent guère. […] Elle veut donc qu’en tout temps elles se lèvent à quatre heures, et trouble ainsi le sommeil de ces pauvres filles. […] On le reconnaît ici dans le récit de la passion que la pauvre Marguerite eut pour François Ier son frère. […] Qui ne serait touché des anxiétés du pauvre petit voyageur, perdu dans les tempêtes de neige ? […] Le peuple était trop pauvre, trop dépendant, trop servile ; les grands étaient trop riches, trop forts, trop audacieux.