Les pensées que l’individu tire de son fonds, quand il s’isole et ne consulte que soi, sont courtes et pauvres. […] pauvre, pauvre citoyen ! […] Le pauvre Senancour se décrit avec une précision attristante. […] Ce tourbillon d’érotisme métaphysique décharné autour du pauvre Benjamin le perdit. […] Il y en a très peu qui refusent, et quelques-unes écrivent… Croyez-vous donc que les pauvres n’ont pas de belles maîtresses !