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8. (1889) Histoire de la littérature française. Tome II (16e éd.) « Chapitre troisième »

A quoi nous reconnaissons-nous le plus, sinon aux alternatives de cette lutte dans laquelle cèdent tour à tour, chez les meilleurs, la passion et le devoir, et chez les autres le devoir plus souvent que la passion ? […] A quel âge n’avons-nous plus à choisir entre une passion et un devoir ? […] Un charme extraordinaire de jeunesse et de passion est répandu dans ce chef-d’œuvre. […] Le devoir n’y est peut-être pas au-dessus de notre vertu, ni la passion plus forte que notre cœur. […] Traité des passions.

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