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826. (1864) Nouveaux lundis. Tome II « Le Poëme des champs par M. Calemard de Lafayette. »

Parmi ceux qui la soutiennent avec le plus d’honneur, je trouve des noms connus, des noms amis auxquels je ne puis échapper avant d’en venir à mon sujet principal, et que je me ferais scrupule de passer entièrement sous silence, puisqu’ils ont publié de nouveaux recueils, pas plus tard qu’hier. […] Passe encore si dans ce recueil M.  […] De tes espoirs glanant les feuilles dispersées, Ensevelis sans fiel tes ivresses passées : Cueille, en aimant encor, les roses de l’oubli. […] J’appartiens au passé : laisse le cyprès sombre Ombrager de son deuil la pierre des tombeaux ! […] On sent que ce poëte, qui veut devenir, lui aussi, un interprète et comme un nouveau prêtre de la nature, a beaucoup passé par le Louvre, et s’y est un peu trop arrêté.

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