Je donnerais mille vies comme une goutte d’eau, pour vous voir tel que Dieu vous veut. » XXXIII Le duc de Bourgogne en allant prendre le commandement de l’armée de Flandre, dans la campagne de 1708, passa par Cambrai. […] Ses réformes politiques avaient passé de la poésie dans la réalité ; mais elles s’y étaient dépouillées des chimères qui les décréditaient dans le Télémaque, et elles y portaient l’empreinte de la maturité, de la réflexion et de la pratique.