Pétrarque avait passe alors de la poésie à la politique. […] J’ai passé pour un blasphémateur ; Voltaire, qui n’était pas sans goût, avait blasphémé avant moi et comme moi. […] Benintendi viendra à son ordinaire passer les soirées avec nous ; est-il rien de plus doux et de plus aimable que son commerce ? […] Pétrarque était trop avancé en âge et trop pieux pour discuter son culte ; il refusa de passer avec eux dans cette controverse. […] J’y venais souvent passer l’été avec ma mère.” — Elle se tut, s’arrêta et détourna sa tête en arrière comme pour attendre l’Isabellina, qui s’était un peu distancée de nous.