Je ne parle pas de Balzac, qui l’a mis partout dans ses œuvres pour le glorifier, excepté une seule fois, dans Le Curé de Tours, où il fit une caricature que son génie même n’excuse pas… Mais tous les écrivains qui n’ont pas le respect de Balzac pour les choses chrétiennes, toutes ces grenouillettes littéraires qui sautent sur le soliveau roi de l’Église désarmée et qui ne peut plus les châtier, radotent du prêtre dans leurs écrits. […] Et partout, à chaque page du roman de M. […] Partout ailleurs qu’à ces deux places, — la scène du lavoir qui commence le livre et la scène de la forge : le duel de vanité et d’amour sur l’enclume entre les deux forgerons, — je n’ai plus vu que le système, éperdument du système, l’affectation, le procédé.