Le poète, ici, n’était pas même tenu à l’unité, de rigueur partout. […] Les idées que les ignorants qui lisent reçoivent de la plume des ignorants qui écrivent, les idées qui présentement filtrent partout et grimpent comme l’eau du déluge jusque dans les esprits qui semblent pourtant assez élevés pour leur échapper, sont ici affirmées une fois de plus, et Victor Hugo leur donne, pour les faire monter plus haut, le coup de piston d’un talent qui passe pour un génie. […] ; et enfin, comme il faut que l’antique et éternel Hugo se retrouve partout avec l’ombre.