La personne humaine n’a ni parties successives ni parties coexistantes dans son principe pensant ; à plus forte raison n’y a-t-il ni succession ni coexistence de parties diverses dans la substance pensante de Dieu. […] En troisième lieu, elles jettent également par la bouche le miel qui leur doit servir de nourriture, partie l’été, partie l’automne. […] On prétend qu’on n’a jamais trouvé la partie gauche du bois d’un cerf, et qu’il la cache comme ayant quelque vertu. […] Cette partie jusqu’ici négligée manque à Aristote comme à Buffon. […] Cependant cet ennemi, sans être nous précisément, est une partie indispensable de nous.