/ 1939
393. (1889) Histoire de la littérature française. Tome II (16e éd.) « Chapitre premier »

Tous les deux sont nés gentilshommes, et tous les deux s’attachent au parti royal : Balzac y avait plus de mérite que Malherbe, parce qu’il était plus jeune, qu’il avait vu ce parti avoir le dessous, et qu’il avait rempli des fonctions de confiance auprès du duc d’Epernon et du cardinal de la Valette, deux des chefs les plus marquants du parti des princes. […] Les écrivains du parti des politiques, à la fin du seizième siècle, Bodin, les auteurs de la Ménippée, l’avaient indiqué, et c’est peut-être un titre pour Balzac que, l’ayant manqué, il l’ait néanmoins aperçu.

/ 1939