Contentons-nous donc d’observer qu’à mesure que l’on avancera dans la continuation de l’ouvrage et que les défauts en apparaîtront mieux, il ne sera pas difficile seulement, mais vraiment impossible de modifier le plan primitif, et qu’il faudra que l’on prenne son parti de le remanier tout entier. […] Il me semble, du moins, que, de ces aveux et de quelques autres, on n’a pas tiré tout le parti que l’on pourrait ; et qu’en les comparant, les éclaircissant, les vérifiant, on y trouverait, énumérés, marqués, et publiquement confessés par lui-même, les traits essentiels de la physionomie poétique d’Hugo.