Nous pouvons croire que, depuis le temps de Charlemagne, il ne manquait pas d’évêques et de curés, prêchant au peuple la parole de Dieu. […] Un dernier exemple prouvera bien au-delà de mes premières paroles. […] Le même air s’appliquait tour à tour aux paroles étrangères et nationales. […] Mes paroles sont des paroles du treizième siècle, des paroles gothiques. […] Ces paroles nous disent que, dans toute la France, il y avait des hommes qui n’entendaient que la langue allemande.