Don Diego, sans me répondre, alla rapporter mes paroles à Francesco, qui en eut tant de peine qu’il ne savait que devenir. […] Ces paroles inattendues nous firent beaucoup rire, quoique nous n’en eussions point envie. […] Et toi, Miceri, repris-je en italien, si tu ajoutes une parole, tu es mort ! […] Sforza me répéta ces propres paroles, en portant presque envie à la faveur dont je jouissais auprès du duc. […] À ces paroles pleines de courroux, il me dit avec plus de colère encore : Gardez-vous bien de partir !