Toute l’ambition des esprits les plus grands du siècle tient dans ces paroles solennelles, graves et brûlantes. […] le fier et noble esprit à qui nous devons une histoire forte et solide, le fin et mélodieux chanteur des Harmonies, le riche et abondant poète des Feuilles d’Automne, des drames, de la Légende des Siècles, l’immense Balzac, le magnifique et sévère Comte, le bon et intrépide Tolstoï, l’âpre et tragique Dostoïevskya, et tant d’autres, qui ont tout compris, tout dépeint, tout vu et tout fait, ne se sont pas trouvés capables de dire une parole simple, âcre et inaltérable comme celles qu’ont rapportées les quatre évangélistes. […] Il a essayé de donner aux peuples les paroles de foi qu’ils demandent, qu’ils attendent, qu’ils espèrent, qu’ils sollicitent sans cesse.