Rayez cela de vos papiers, pour parler comme votre Molière. […] Elle devrait quelque pitié à l’amour de ce pauvre Arnolphe…, elle se jette à la tête du premier venu qui lui parle. […] Ainsi il parla ; et moi, l’entendant parler, j’écrivais sous sa dictée ; et plus d’une fois, je me disais tout bas qu’il avait peut-être raison, mais que notre plaisir à tous, lui donnait le démenti le plus formel. […] Ainsi il parle ! […] » Voilà qui est bien parler, et que celui-là entende qui a des oreilles pour entendre.