Le mot, écrit ou parlé, excite un sens, la vue ou l’ouïe, et dégage une activité du cerveau, c’est vrai. […] « Notre service divin n’en est pas un », écrit Henri de Kleist. « Il parle seulement à la froide raison : mais une fête catholique parle à tous les sens ». […] La « damozel » commence à parler. […] Il parle comme MM. […] (La psychiatrie nomme cette manière de parler de la « verbigération ».)