C’est qu’il offre à ses dévots des œuvres parfaites, où les gens du métier trouvent un plaisir sans mélange : presque jamais un sentiment personnel au poète n’y éclate dont la sincérité, l’originalité ou l’expression puisse être contestée, qui semble, suivant les jours, insuffisant ou démesuré, ni qui détourne l’attention des mystères savants de la forme. […] Je ne dirai rien de ces poèmes, sinon qu’ils partent de la même inspiration que ceux dont j’ai parlé et que la forme en est aussi parfaite.