Sous la monarchie, une foule d’usages substituaient quelquefois le ton de la convenance à celui de la raison, les égards de la société aux sentiments du cœur ; mais dans une république, le goût ne devant consister que dans la connaissance parfaite de tous les rapports vrais et durables, manquer aux principes de ce goût, ce serait ignorer la véritable nature des choses. […] Les manières ne sont parfaites que lorsqu’elles encouragent tout ce que chaque homme a de distingué, et n’intimident que les défauts.