Louis Payen Après une retraite profitable, Louis Raymond nous donne des poèmes plus parfaits et plus personnels que les précédents. […] Voilà une strophe parfaite : les syllabes sourdes s’unissent et s’allongent infiniment ; et s’évoque une ville triste, au ciel de suie, avec des maisons ouatées de brume que déchire sourdement par instants une cloche qui tinte ses notes éteintes.