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342. (1912) Réflexions sur quelques poètes pp. 6-302

Car Rapin était surtout un parfait érudit plein de goût, et, en latin, lorsqu’il voulait, il savait faire un beau mélange de dactyles et de spondées. […] Voilà un grand malheur, et d’une parfaite inutilité ! […] ô Polynice… » J’ai dit que l’Antigone de Rotrou n’était point parfaite. […] Quand on dit d’un versificateur : sa forme est parfaite, il y a, certes, confusion. […] Non, sans une part de génie, il n’y a pas de parfait réellement dans l’exécution artistique.

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