Ce premier Apologue est parfait ; non qu’il soit aussi brillant, aussi riche de poésie, aussi varié, que le sont quantité d’autres. […] Les quatre derniers vers sont parfaits.
Ce premier Apologue est parfait ; non qu’il soit aussi brillant, aussi riche de poésie, aussi varié, que le sont quantité d’autres. […] Les quatre derniers vers sont parfaits.