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1779. (1890) Causeries littéraires (1872-1888)

que c’est bien là l’amour du poète, amour égoïste, vaniteux et tyrannique, et combien est plus soumis, humble et reconnaissant l’amour du parfait notaire ! […] Je doute qu’il le soit et ceux qui, comme moi, ont de la sympathie pour ce parfait honnête homme, victime d’ambitions démesurées, mais tout à fait avouables, ne trouveront pas la compensation suffisante. […] Cependant, après quelques années d’entente parfaite, le doute et l’inquiétude.

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