Une réflexion qui se présente après la lecture de ce traité, c’est qu’il est parfait dans son genre, et que l’auteur a épuisé son sujet. […] On pardonne un mauvais ouvrage à un ouvrier indigent, on ne le pardonne point aux dieux ; tout ce qui sort de leurs mains doit être parfait. […] Voilà peut-être l’homme parfait ; mais l’homme parfait est-il l’homme de la nature ?