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151. (1911) Études pp. 9-261

Le dessin d’Ingres est fait de quelques lignes parfaites. […] Tout de suite il aperçoit ce qu’il va faire et comment il le fera : l’œuvre est devant ses yeux, présente et parfaite. […] C’est qu’il ne la voit pas immobile et parfaite, toujours prête à se laisser caresser, attitude docile à toutes les empreintes. […] Mais Pelléas est d’un certain idéal la réalisation trop parfaite, pour avoir à craindre la réaction de l’avenir. […] Qui songerait à louer ici la solidité, la prise, la parfaite définition des objets par les mots ?

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