C’est Malherbe qui rappelle ensuite que « la mort a des rigueurs à nulle autre pareilles ». Dans l’œuvre de Bossuet, dans l’œuvre de Pascal, l’idée de la mort est toujours présente. — Et nous-mêmes, de la façon dont nous concevons la mort, dépend la façon dont nous vivons chaque jour : car, pensons-nous que le jour de la mort est vraiment la fin de tout, mais alors, réjouissons-nous, hâtons-nous de jouir et, pareils aux sages épicuriens, couronnons-nous de roses. […] Mais ici je n’ai pas besoin d’insister pour vous montrer tout ce qu’il y a de puéril dans une pareille théorie. […] La vie qui a reconnu pour son maître un pareil amour en subit la tyrannie et elle est en proie à une sorte de fléau. […] La petite pièce fut donnée, et, le lendemain, ce fut un engouement comme nous en avons revu de pareils, mais comme, cependant, il n’y en a pas souvent dans un siècle.