Au deuxième chant du poème, quand les hérauts rassemblent devant les vaisseaux les armées des Grecs, Agamemnon surgit de leurs rangs, dans une grandeur souveraine, pareil au dieu du commandement. […] Aux dieux seuls de pareils honneurs ; je n’oserais jamais, moi mortel, marcher sur la pourpre. […] Ses traits se calment, ses nerfs se détendent, pareils aux cordes d’une lyre qu’une main violente cesse de tordre pour forcer ses tons.