En politique, il a le mauvais rôle : le livre de la Politique selon l’Écriture sainte paraît le livre des tyrans, comme le Télémaque paraît celui des bons princes et des peuples libres. […] Il m’échappe, il me paraît changer à toute heure. […] Fénelon sent pourtant qu’il doit paraître dur ; ne serait-ce pas encore un effet du sens propre ? […] Notre langue ne lui paraît pas assez riche. […] Il y a bien paru, quand il a voulu être poète autrement qu’en prose.