Il y a dans ces lignes une critique, une allusion directe au roman d’Atala qui venait de paraître. […] Walckenaer comme biographe du Grand Siècle, c’est de n’avoir point paru soupçonner ces questions-là, et de ne les avoir point laissées se poser et se résoudre aux yeux du lecteur par l’art heureux des citations mêmes. […] En me faisant cette question, vous paraissez avoir vous-même oublié les détails de cette journée : laissez-moi vous les raconter. […] Plus j’avançais dans ma lecture, plus j’apercevais dans vos regards et dans tous vos traits une expression de compassion et de terreur, qui me remplissait moi-même d’inquiétude et de crainte. — Quand parut le malencontreux cuisinier et que vous vîtes briller le fer qu’il portait à la main, vous vous précipitâtes aussitôt sur moi. […] Les Mémoires touchant la vie et les écrits de Mme de Sévigné commencèrent à paraître en 1842, et l’auteur, je l’ai dit, corrigeait hier de sa main mourante les épreuves du cinquième volume, qui en demandait un sixième encore.