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1853. (1870) Causeries du lundi. Tome XIII (3e éd.) « Guillaume Favre de Genève ou l’étude pour l’étude » pp. 231-248

À Venise, où il arrive très recommandé, Marius éblouit le premier jour ses illustres protecteurs : « Il parut devant le doge et devant le Sénat, et dicta sans aucune préparation, à trente-deux secrétaires, des compositions sur autant de sujets différents qui lui avaient été proposés sur-le-champ. […] Guillaume Favre ne paraît pas s’être posé ces questions, ni s’être jamais pris à partie lui-même sur son mode de développement toujours servi par les circonstances ; il apportait dans les lettres un esprit et une méthode d’observation positive ; il ne songeait qu’à la vérité du fait qu’il poursuivait et à sa propre satisfaction individuelle. […] [NdA] Voir sur Schlegel les pages 119, 151, d’un agréable volume de miscellanées littéraires qui vient de paraître et qui a pour titre : Jugements, maximes et réminiscences, par M. 

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