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1820. (1835) Critique littéraire pp. 3-118

Notre siècle me paraît plus sage. […] Tout cela, je l’avoue, ne m’a pas paru très édifiant, et je conçois tout autrement la prédication religieuse. […] Il a paru après une révolution qui avait fait peser sur la langue française le niveau terrible qui avait tout abattu, et il a relevé la langue française. […] l’auteur d’Héloïse paraît froid. […] Neal-Sing paraissait plongé dans ses réflexions.

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