A mesure que le système nerveux se perfectionne (c’est toujours Gall qui parle), lorsque paraît un petit cerveau au-dessus de l’œsophage, paraissent aussi quelques instincts, quelques aptitudes innées. […] « Le cerveau d’un âne, dit-il, ne fait que la 250e partie de son corps, tandis que celui de la souris des champs en fait la 31e : aussi une souris a-t-elle une petite mine assez spirituelle. » Quelque rationnelle que paraisse cette méthode, elle me paraît devoir soulever quelques objections. […] En laissant de côté ici la question des localisations, disons seulement que ces circonvolutions paraissent liées au développement de l’intelligence. […] Flourens paraît donner raison à cette opinion. […] Mais l’opinion de celui-ci n’était pas, à ce qu’il paraît, aussi affirmative ; et cette corrélation entre l’intelligence et la petitesse de l’animal paraît mériter confirmation.