Il cite avec admiration la page de Werther où ce comédien de Goethe fait le bouddhiste de la nature et parle de s’abîmer et de succomber, lui, Goethe (monsieur le conseiller !) […] Mais cette page lui paraît pourtant le dernier degré de l’oubli de soi-même, le comble de l’évanouissement et de l’extase !