De vingt pages en vingt pages, le lecteur assiste au début d’une action nouvelle qui ne se continue pas ; il voit paraître de nouveaux personnages qui ne demeurent pas en scène. […] C’est pourquoi l’Essai historique en visant à l’omniscience, n’a pas même touché le but annoncé sur la première page. […] Parlerai-je des contresens qui s’ajoutent aux pages inintelligibles et aux barbarismes inutiles ? […] De pareils contresens se comptent par centaines dans les cinq cents pages du texte français. […] La plus belle page de Tacite, mise en scène, pourrait très bien ne produire qu’un effet assez médiocre.