Ibsen le prolonge pendant des vingt pages ; et cela est accablant. […] Que d’ailleurs le vieux solitaire de Bergen n’ait jamais lu une page de George Sand et qu’il ait peu et dédaigneusement pratiqué Dumas fils, là n’est pas la question, et M. […] Toutes les fois que j’ai lu des pages de lui sur quelqu’un des nôtres, j’ai reconnu malgré moi, dans son esprit bien plus encore que dans son style, cet indéfinissable accent que la marchande d’herbes d’Athènes reconnaissait dans la prononciation du Béotien Théophraste. […] Parmi tout cela, à chaque page, quelque chose de languide, de défaillant, de pâmé. […] Tout fiel est absent des innombrables pages qui coulent de lui depuis plus de trente années.